tungstene1

Imaginer la réponse de Lou au poème d'Apollinaire si je mourrai là-bas

http://bacfrancaisen1s.canalblog.com/archives/2006...

ma version

Oh mon poète je te sais invincible

et que même au trépas tu survivras

car l'amour est notre unique bible

et il nous protège de son aura

au delà la bête immonde et noire

qui fauche les hommes aveuglément

de sa faux sinistre et expiatoire

je te suivrai encore mon doux amant

Toi mon tendre et adoré poète

jusque aux portes infâmes du néant

je poursuivrai cette inlassable quête

de t'aimer encore et inlassablement

Jour après jour nuit après nuit

de l'aube jusqu'au soir qui tombe

par delà cette vie brulante qui te fuit

j'irai jusqu'à t'aimer encore outre-tombe

Je t'arracherai de ces griffes de l'enfer

avec pour seules armes des mots d'amour

je serai belle acharnée féroce et fière

pour démontrer qu'amour rime avec toujours

Allegri - Miserere

http://www.youtube.com/watch?v=eh31j6L95Ok

Je vous invite à découvrir le travail de Sophie Thouvenin, photographe de talent. C'est par là

http://prismes.free.fr/foret/index.html

et aussi par là

http://prismes.free.fr/

elle est la mère de Mathieu et la femme de Philippe Delerm (la petite gorgée de bière etc) elle fait des livres magnifiques pour les enfants qu'elle illustre avec talent , mais elle est surtout l'auteur de ce texte bouleversant

HENRI MONDOR

Il y a des lieux où jamais l’on ne reviendra. Des lieux où l’on ne va qu’une fois, où d’emblée l’on sait qu’on ne remettra pas les pieds.

Ils sont toujours au bout d’un long voyage, d’un voyage en soi, d’un voyage sale et fatiguant et peu importe le moyen de transport : ça dure

longtemps, trop longtemps. Même si ce n’est que quelques minutes, ce sont des minutes qui ressemblent à l’éternité. En avion, à pied, en voiture, qu’importe ! Même à l’air libre ce voyage est un enfermement.

Un wagon de métro qui roule tard dans la nuit, plein de tags incompréhensibles et hostiles, de mégots par terre, de sièges éventrés,

de visages blafards, déjà morts.

Et même si l’on est plusieurs, on voyage toujours seul et, au milieu des bruits de la vie, dans le plus profond silence…

Au cœur de la ville, c’est toujours un morceau de banlieue.

On doit pour y rentrer, séparer son corps de son âme ou de quelque chose comme ça qui ressemble à l’âme et pourrait s’appeler esprit ou pensée. Quelque chose qui a affaire avec le passé, les souvenirs, une part de soi prise entre hier et maintenant.

Mais on sait que c’est un lieu de maintenant, un lieu sans futur.

On n’y reviendra pas. Voilà, on laisse son âme, on n’y entre qu’avec le corps. On voit sans vraiment le lire, que c’est écrit Henri Mondor. Mais ça pourrait être un autre nom, n’importe quel nom, un nom d’homme ou de femme avec un prénom banal, Pierre, Georges ou Marie. Un nom détaché de toute humanité, un nom de stade ou de lycée…mais ce n’est pas un stade ou un lycée.

On entre et la route est fléchée. Un jeu de piste entre des cubes de béton. Au bord des pelouses parfaitement tondues, des flèches de bois, comme un sinistre chemin de croix. On marche vers un pavillon. Un pavillon sans grille ouvragée, sans marquise et sans volets verts.

Le monde a changé de vocabulaire. C’est un lieu sans mots, sans vrais mots : ils sont restés dehors. Henri Mondor .

Après, c’est le verre, le fer, le gris, le blanc, le froid, le livide, le dur,

l’acéré, l’angulaire, le résonnant, le javellisé, l’aseptisé, le vide…

On a pris l’escalier pour être sûr de ne croiser personne et, maintenant

on suit l’infirmière ; elle marche devant vous en faisant claquer ses

semelles de bois. Elle a les ongles de pieds faits. C’est tout ce qu’on verra d’elle. On avance les yeux baissés, on ne voit qu’un carrelage

blanc et noir, les pieds chromés des chariots du couloir, du linge sale qui déborde d’un panier, un seau.

On n’entend plus rien, un rien troué un instant par le rire d’une grosse femme en blouse rose…Après elle parle très fort, très vite, mais c’est une langue étrangère que l’on ne comprend pas. Au delà des frontières

Henri Mondor. Après, après ? Après on ne sait plus, on ne se souvient plus.

C’est juste une pièce vide, une pièce- caisson pour entourer un lit-table,

Un lit qu’on peut pousser comme un caddie. Il y a quelqu’un sur le lit,

quelqu’un qu’on a pas envie de voir, quelqu’un qu’on ne voudrait pas voir. Quelqu’un qu’on vient voir et que l’on ne reverra plus. On voudrait croire qu’il dort.

Quelqu’un qu’on a connu ailleurs, dans d’autre lieux, sur des plages, au soleil, quelqu’un qui sentait l’ambre solaire. Quelqu’un dont le pas avait sa façon bien à lui de résonner sur le parquet. Quelqu’un qui portait des pulls et des cardigans angora, qui perdait ses lunettes et qui avait sa façon bien à lui de les repousser sur le nez. Quelqu’un qui n’est pas d’ici mais qui en a pris les couleurs.

Et on voudrait croire que c’est passager, que c’est juste ça, un lieu qui a déteint sur quelqu’un, qui a déversé sur lui son gris, son acier, sa rigidité. On voudrait croire…

…mais on ne croit rien. On sait, on sait bien…Alors, on voudrait juste courir dehors et même sortir dehors. Et ça, on sait aussi que c’est impossible : c’est un pléonasme. C’est écrit en rouge dans la marge de la vie.

Martine Delerm

Une belle démonstration que la poésie peut vibrer au plus haut point, sans vers et sans rimes

Je sens que tu grandiras à l’orée des chemins de terre, en dansant au rythme des grillons et des champs de canne à sucre, en répétant des mélodies, des baisers et des lectures. Tu tomberas amoureuse de l’ombre des mots. Et tu aimeras par-dessus tout leur lumière . Le mot, mon amour, est celui qui illumine ou redonne vie, il est la densité voluptueuse de l’esprit, celui qui déchiffre et définit, avant de te faire sombrer dans une énigme plus vaste encore. Le mot est liberté.

Tes jambes fileront à la vitesse de l’arpège vers cette jeunesse où tes hanches s’épanouiront, promesses de coquelicots sauvages.

Peut-être par un chaud après-midi deviendras-tu mère à ton tour. Tu te rappelleras cette lettre. Je serai là, à t’observer dans la transparence de la mémoire, j’écarterai les voiles en silence en murmurant les jeux du passé et en te voyant à tout jamais comme cette petite fille que je serre contre ma panique, je poserai mes lèvres sur ta bravoure.

Depuis que tu existes, penser à l’avenir me fait trembler d’effroi et d’émerveillement, je sens mes forces décupler, je mets ma main au feu, confiante en ta bonté, en ta certitude. A la pensée que toi aussi tu auras des enfants, mon corps s’étire, immense, à l’infini. Et je pense à ton âge mûr, ma fille, je te vois alors et je ne suis plus à tes cotés.

ça vous inspire?

Je m'y suis collé et cela a donné ça

http://tungstene.e-monsite.com/pages/abecedaire-1....

C'est un paquebot qui est en train de couler, un passager s'exclame Capitaine! Capitaine! à combien est la terre la plus proche? Le Capitaine: 2 km

Le passager, oui mais dans quelle direction?

Le capitaine: en dessous.......

Savez pourquoi à Cannes on a tant mobilisés d'hommes grenouilles et que l'on a même mis des sous-marins dans la baie.

Moi j'ai trouvé le pourquoi.......

Ils avaient peur que Ben Laden remonte!!!!!!!!!!

vous avez lu, entendu ça

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/10/26...

Si vous voulez agir signez la pétition

http://www.petitions24.net/pas_de_licenciement_pou...

Sculpteur qui pousse le réalisme jusqu'à semer un profond trouble chez qui regarde, ce sentiment étant amplifié par le changement d'échelle de la représentation.

http://www.youtube.com/watch?v=dzQ_2JS3YTs&feature...

dans la genèse par exemple on parle de l'arche de Noé:

« Fais-toi une arche en bois résineux, tu la feras en roseaux et tu l'enduiras de bitume en dedans et en dehors. Voici comment tu la feras : trois cents coudées pour la longueur de l'arche, cinquante coudées pour sa largeur, trente coudées pour sa hauteur. Tu feras à l'arche un toit et tu l'achèveras une coudée plus haute, tu placeras l'entrée de l'arche sur le côté et tu feras un premier, un second et un troisième étages. »

Ces mesures correspondent à une grande barge sans mât, d'environ 137 mètres de long, 26 mètres de large et 16 mètres de haut. Dans le passage suivant, Dieu dit à Noé d'engranger des vivres dans l'embarcation, puis d'emmener avec lui sa femme, ses fils Sem, Cham et Japhet ainsi que les épouses de ces derniers, sans oublier des spécimens de toutes les espèces animales existantes.:

on estime qu'il y a dans les 3o millions d'espèces d'insectes, les mammifères 5400, les oiseaux 10000, les reptiles plus de 8000, il faut un couple de chaque, donc Noë a du mettre dans l'arche un peu plus de 60 millions de bestioles (et je ne parle du boulot pour trouver et trier afin d'avoir un mâle et une femelle de chaque, surtout pour les insectes!) et je vous dis la taille du bateau pour trimbaler tout ça!

Ce n'est pas une anecdote, la théorie du créationnisme indique que le monde a été crée en 1 fois .

Cette histoire de l'arche de Noé est reprise par l'Islam, la variante est qu'en plus de Noé et sa famille, il y eut 70 des humains, ce qui ne change rien au problème de place. Le voyage aurait duré de 5 à 6 mois, emporter de la bouffe pour 60 millions de bestioles et 78 humains pour 6 mois...Qui plus est il n'y avait pas de frigo.

Dans la tradition rabbinique, le voyage dure un an. Mais il parait que les animaux embarqués furent sympa car ils s'abstinrent de toute procréation, à part un lion qui a blessé Noé, le pauvre déjà qu'il est resté 1 an sans dormir...

en allant dans le plus récent: la crucifixion si on plante les clous dans les mains, ça tient pas, le crucifié tombe, il n'y a que 2 solutions: clouer dans les poignets, ou attacher au préalable à la croix. La crucifixion de Jésus a eu de nombreux témoins personne ne fait mention d'attachement. Aux Philippines certains se font crucifier mais on les attache avant.Les romains attachaient aussi avant de clouer. Aucuns récits, aucunes représentations du Christ sur la croix indique un attachement. Pourtant plein de détails sont mentionnés, la plaie sur le coté droit, la couronne d'épines etc.

Adam et Eve, on les représentent avec un nombril, hors ceci est la marque du cordon olombical, étant crée par Dieux, ils n'ont aucunes raisons d'en avoir un. Eve a été crée avec une côte d'Adam: homme et femme ont le même nombre de côtes.

On a donc 1 homme et une femme, ils ont 2 fils Abel et Caen, Abel tue Caen, pour que l'histoire continue il faut qu'Eve se fasse mette enceinte par son fils assassin et qu'elle accouche d'une fille. Bref ça démarre à fond dans la consanguinité, la dégénérescence qui en découle doit obligatoirement tuer l'espèce. C'est d'ailleurs un des gros problèmes pour sauver les espèces en voies de disparition.

Vous allez adoré ça

http://atomicsarchives.chez.com/tcherno_sous_marin...

“Par Gascogne”

J’avais cru à une mauvaise blague lorsque la rumeur était arrivée jusqu’à moi. La seule sanction contre les “fautes” qui auraient eu lieu à Nantes, dans le cadre du meurtre de Laëtitia Perrais, interviendrait par le biais du “limogeage” du directeur interrégional de l’administration pénitentiaire de Rennes. Celui qui avait signalé que le système ne pouvait pas fonctionner en l’état par manque de moyens devait servir de fusible afin que le président de la République ne perde pas la face, après avoir mis la charrue avant les bœufs, et annoncé des sanctions avant toute enquête.

J’ai encore cru à une plaisanterie de mauvais goût lorsqu’avant même la déclaration officielle du Garde des Sceaux, indiquant qu’il allait déplacer d’office le fonctionnaire, les syndicats de la pénitentiaire faisait remonter via l’ANJAP la destination envisagée pour le directeur.

Je viens d’avoir confirmation qu’il ne s’agissait pas d’une plaisanterie :

Arrêté du 23 février 2011 portant nomination (inspecteurs territoriaux des services pénitentiaires)

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés, en date du 23 février 2011, M. Claude L., directeur interrégional des services pénitentiaires de Rennes, est nommé inspecteur territorial des services pénitentiaires pour exercer les fonctions de coordonnateur des inspecteurs territoriaux des services pénitentiaires pour une durée de trois ans à compter du 7 mars 2011.

Pour ceux qui seraient hermétiques au langage administratif, je traduis : notre sanctionné devient inspecteur des services pénitentiaires, bœuf carotte de cette administration, si vous préférez. Il va être chargé de coordonner les activités de ceux qui ont rédigé le rapport ayant abouti à sa “sanction”.

J’hésite entre le cynisme le plus absolu… et le cynisme le plus absolu. Mais je ne doute pas qu’il doit y avoir une explication qui m’échappe. Vivement qu’une procédure disciplinaire soit engagée à mon encontre : je rêve de terminer ma carrière à l’inspection des services judiciaires.

Lisez donc ça

http://www.paperblog.fr/1582501/les-pieces-jaunes-...

Si vous voulez de l'aide, le minimum serait de détailler votre question, d'indiquer votre OS(XP, VISTA, SEVEN) le navigateur que vous utilisez:( IE,firefox, Chrome) et pour la messagerie:(live mail, Outlook express, thunderbird) bref, plus vous indiquerez de détails, plus vous obtiendrez des réponses pertinentes, on est pas mal à bien vouloir vous aider mais les devins sont rares parmi nous.

contrairement à ce que véhiculent certains, allez voir par là

http://www.courrierinternational.com/article/2010/...

Un repris de justice au gouvernement ça à l'air de ne pas déranger grand monde.

http://www.plumedepresse.net/a-tous-les-politicien...

http://www.monde-diplomatique.fr/carnet/2010-10-01...

Allez faire un tour par là

http://www.youtube.com/watch?v=Dvl7yQ8BjA4

Devenez PDG de Renault

http://www.liberation.fr/economie/0101643225-ghosn...