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Dans cette société procédurière, si vous avez fait l'objet d'une plainte, vous restez,définitivement, dans les fichiers des services de police et de gendarmerie malgré une innocence prouvée par la Justice qui prononce une relaxe.

Je trouve que les personnes qui portent plainte abusivement devraient voir l'inscription au fichier retournée contre elles. laisser les choses en l'état dans les Services de police et de gendarmerie correspond à un encouragement à continuer des mensonges.

Au moment des élections, ils sont très nombreux à se présenter aux urnes ? Pour quoi faire puisqu'ils sont absents aux séances de l'A.N. ? Pourquoi ne sont-ils pas payés, comme dans les entreprises privées, lorsqu'ils sont présents ?

Connaît-on vraiment toutes les formes de violence faite aux hommes? Peut-on identifier ses causes profondes et ses conséquences sociales, économiques? Tous les hommes peuvent se retrouver un jour ou l'autre victime d'une femme ou d'une conjointe violente:

* Se faire dévaloriser, harceler, traiter de fou, d'incapable, par sa conjointe, c'est se faire violenter.

* Se faire menacer de coups, de perdre les enfants, c'est aussi se faire violenter.

* Se faire faussement accuser de violence conjugale, se faire menotter devant ses enfants puis emprisonner, c'est aussi se faire violenter.

* Se faire frapper, lancer des objets par sa conjointe sans pouvoir répliquer de peur d'être arrêté par la police, c'est aussi se faire violenter.

* Se faire éloigner de ses enfants victimes d'alliénation parentale maternelle, c'est aussi se faire violenter.

* Se ruiner en frais d'avocat pour avoir accès à ses enfants, c'est aussi se faire violenter.

* Se voir obligé de payer une pension alimentaire pour enfants qui servira à leur mère pour se payer du luxe, un voyage annuel à Cuba, une automobile luxueuse, c'est aussi se faire violenter.

* Se voir humilier sexuellement par la mère de ses enfants qui fornique à gauche et à droite, c'est aussi se faire violenter.

* N'avoir droit de voir ses enfants qu'une fin de semaine sur deux, et voir le lien sighificatif avec sa progéniture s'étioler lentement, c'est aussi se faire violenter.

Vous connaissez certainement un voisin, un frère, un beau-frère, un compagnon de travail, qui vivent ces types de violence.

Vous connaissez sûrement plusieurs hommes violentés qui, comme tous les hommes, ne peuvent compter sur aucun organisme solidement soutenu par l'État pour leur venir en aide.

Vous connaissez peut-être un des trop nombreux hommes victimes de fausses allégations de violence conjugale chaque année, un de ceux qui se suicident tous les ans, un des sans-abri, un qui doit vivre dans un taudis malgré un bon salaire à cause d'une pension alimentaire exhorbitante...

Réagissons à la violence faite aux hommes!

Depuis plusieurs mois, j'ai tout vu sur ce site : des critiques et moqueries sur tous les candidats surtout le Président sortant, des allusions de tricheries dans les bureaux de vote, etc... Et lorsque l'on propose aux électeurs de venir aider au dépouillement, la majorité "n'a pas le temps"... Pourtant, c'est une bonne occasion de contrôler que tout se passe régulièrement. Alors pourquoi ce désintérêt pour ce qui nous concerne tous ?

Nous avons signé un bail, début mai 2010, avec un couple de jeunes qui voulaient s'installer chez eux, comme nous l'avons fait de multiples fois sans problème jusqu'à maintenant. En juin, nous avons été obligés de demander le paiement du loyer qui n'avait pas été viré en temps. En juillet, nous avons été obligés de demander, encore, le loyer et nous avons appris, par sms, qu'ils ne pouvaient pas payer pour problèmes financiers ; nous avons proposé la restitution des clefs et d'en rester là ; depuis, il y a eu un commandement de payer resté sans effet ; une procédure d'expulsion est en cours. nous avons, à maintes reprises, tenté d'avoir un entretien téléphonique et ces personnes ne décrochent JAMAIS leur téléphone et imposent le sms comme moyen de communication.

Dans le dernier sms, il nous a été écrit qu'ils VOULAIENT bien rendre les clefs, que nous conservions l'argent du dépôt de garantie et refusent de payer les loyers dus. De multiples fois, ils nous ont fixé des rendez-vous pour rendre les clefs et ils ne sont pas venus.

Avons-nous le droit de porter plainte, notamment pour les sms à la limite des insultes (je les ai enregistrés sur mon téléphone) et pour escroquerie (non respect du contrat signé, exigence que nous renoncions aux sommes qui nous sont dues, ton limite insultant des sms) ?

Je précise que ce logement a été acheté pour améliorer notre retraite et que cela nous a mis dans l'embarras sur le plan financier.

Je m'explique : mon fils divorcé d'une femme éthiopienne a demandé une interdiction de sortie du territoire pour ses trois filles âgées de 17, 12 et 11 ans. Pour l'aînée, il n'y a pas de problème car elle vie avec elle ; pour ses soeurs, c'est l'angoisse pour chaque période de vacances. Jusqu'au divorce, il avait une interdiction de sortie du territoire qui n'a pas été reportée sur le jugement de divorce par négligence. Il a fait un référé et il a été débouté. Donc la mère peut emmener les enfants dans son pays sans les ramener, à l'insu du père, ce qui est loin d'être leur intérêt et cela avec la complicité de nos dirigeants puisque les juges prennent des décisions inappropriées

Il n'est pas question de faire appel car sa procédure, tous frais compris, a coûté autour de 50.000 euros. Cela aussi est scandaleux.

Je m'explique : mon fils divorcé d'une femme éthiopienne a demandé une interdiction de sortie du territoire pour ses trois filles âgées de 17, 12 et 11 ans. Pour l'aînée, il n'y a pas de problème car elle vie avec elle ; pour ses soeurs, c'est l'angoisse pour chaque période de vacances. Jusqu'au divorce, il avait une interdiction de sortie du territoire qui n'a pas été reportée sur le jugement de divorce par négligence. Il a fait un référé et il a été débouté. Donc la mère peut emmener les enfants dans son pays sans les ramener, à l'insu du père, ce qui est loin d'être leur intérêt et cela avec la complicité de nos dirigeants puisque les juges prennent des décisions inappropriées

Il n'est pas question de faire appel car sa procédure, tous frais compris, a coûté autour de 50.000 euros. Cela aussi est scandaleux.

Un homme de mes connaissances a porté plainte, preuves à l'appui, pour insultes de la part de son ex. Les policiers ont retranscrit, dans la plainte, la totalité du message qui était sur messagerie. Il vient d'apprendre que la plainte était classée sans suite.

Comme pour les violences qu'il a subies, il est, une fois de plus, considéré comme un gêneur. Pour bien moins que ce qu'il subi, les femmes font condamner les hommes à des dommages et intérêts si ce n'est pas pire.

Ce n'est pas très moral comme histoire ; la mère de ma petite fille a jeté sa fille dehors, il y a plus de deux ans et a porté plainte pour fugue. L'enfant est revenue chez son père et a fait les démarches pour que le juge l'y domicilie. Récemment, la mère s'est plainte que le départ de sa fille lui avait fait perdre de l'argent. Le père et l'enfant (bientôt majeure) ne comprennent pas bien pourquoi.

Une de mes relations a reçu une convocation à médiation avec son ex. Il s'est présenté, seul à la médiation parce que rien, dans les documents reçus, ne lui précisait qu'il avait le droit de se faire accompagner. La partie adverse était assistée d'une personne ; il a protesté et demandé à ce que cette personne sorte, d'autant plus qu'elle est à l'origine d'une grande partie de ses déboires ; la médiatrice a répondu que la personne ne sortirait que si cela la dérangeait elle ; la personne que je connais est sortie, après la séance, dépitée parce qu'elle a eu l'impression d'être tombée dans un traquenard et que seule son ex était importante pour la médiatrice. Que disent les textes pour ce cas de figure ? Comment sont-ils interprétés ?

Merci.

Une relation de sexe masculin est allée, mardi soir, assister à un spectacle de fin d'année dans lequel ses plus jeunes filles dansaient ; elles avaient demandé sa présence.

Il s'y est rendu avec sa fille aînée qui vit avec lui. La mère est arrivée, par derrière, et a voulu arracher son sac à sa fille pour le fouiller ; le père s'est interposé pour la protéger. Là, la mère est entrée en furie, l'a insulté, a voulu le gifler (ce qu'il a réussi à esquiver), a menacé de venir chez lui mettre le feu.

Il y avait des témoins qui ont regardé sans aucune réaction. Auriez-vous agi de la même manière ?

Je suis sûre que si la situation avait été l'inverse, il se serait trouvé un ou une "courageux(se)" pour téléphoner à la Police et le père aurait été emmené au Poste de Police.

Il a porté plainte et cela se réglera demain au Tribunal.

De plus en plus d'hommes sont victimes de violences, de la part de leur femme, dans l'indifférence générale ; les lieux d'accueil sont réservés aux femmes et rien n'est prévu pour les hommes battus ; notre société et fondée sur un déni total en ce qui concerne la violence féminine ; les hommes violents sont sévèrement punis et ont une obligation de soins ; les femmes violentes sont protégées par un système social qui, souvent, parvient à faire accuser l'homme de violences pour masquer la réalité.

Une fois le couple séparé, ce sont les enfants (laissés à leur mère bien sûr) qui subissent des violences de la même femme ; on ne les protège même pas une fois que la famille révèle les faits ; on attend toujours le drame et on trouve des excuses à la mère alors que l'on accable les pères pour n'importe quoi.

Qui, comme moi, croit que les violences conjugales devraient être traitées sous un angle plus général en admettant la réalité de la violence des femmes et en sanctionnant le responsable, quel qu'il soit, de la même manière ?

On nous parle, sans cesse, de l'homme alcoolique et, par conséquent, violent ; je sais que des malades alcooliques ne sont pas violents, l'alcool les fait boire. Je sais, également que l'alcoolisme et la violence des femmes progressent et deviennent dangereux.

Que faire pour que cette évidence soit reconnue ?

Il devient de plus en plus fréquent que les hommes soient accusés de violences, même s'il n'y en a jamais eu ; le but de cette manipulation est de garder les enfants dont les mères se croient propriétaires. Messieurs, j'aimerais recueillir vos témoignages car de tels agissements on tué et tuent encore...

Il a fallu 7 années de procédure, à un père, pour faire admettre son innocence par la Justice. Aux États-Unis, les plaintes mensongères, dans les procédures de divorce, représentent 60 % des Plaintes. En France, la mode est aux accusations mensongères de violence de la part des hommes, même si c'est la femme qui est violente. Par contre, nous n'avons pas de statistiques concernant les accusations mensongères et les mères peuvent continuer, impunément, puisqu'elles Y sont même incitées. Quel gâchis pour les enfants qui sont pris dans un conflit qui n'est pas le leur et qui les perturbe à vie.

J'ai remarqué que beaucoup de participants, posent des questions sur des thèmes divers ; à chaque réponse qui ne leur convient pas, ils mettent des "informations complémentaires" de reproches à ceux qui ont répondu. Naïvement, je croyais que les informations complémentaires étaient destinées à donner un élément complémentaire pour les réponses parce que, dans le texte de la question, il y avait un manque. De plus, on peut se retrouver avec un mail d'insultes auquel il est impossible de répondre parce que le participant, mauvais coucheur, a pris le soin de "bloquer" l'autre pour l'empêcher de répondre et, ainsi, de s'expliquer.

Qu'en pensez-vous ? Moi je trouve le procédé tendancieux et lâche.

- le juge a eu la preuve que la mère ne s'occupait pas des enfants et ne suivait pas leur scolarité,

- le juge a constaté et écrit que la mère instrumentailisait les enfants,

- le juge a émis, par écrit, des doutes sur les dires de la mère au sujet de soi-disantes violences,

- un juge pour enfants avait été obligé d'intervenir parce que plusieurs personnes de l'E.N. ont demandé la mise en place d'une assistance éducative judiciaire,

- l'aînée des enfants (14 ans et demi) a, depuis que la mère a emmené les enfants vivre avec elle dans un foyer, commis des actes qui l'ont conduite au commissariat de police,

- la preuve a été donnée que les accusations de violences étaient imaginaires...

Le père se bat pour que ses filles puissent revenir chez lui afin que leur avenir ne soit pas gâché, sans aucun succès.

Cela ne peut que révolter parce que les enfants ainsi traités par les mères sont les délinquants de demain.

Tout cela au nom du Peuple français...

J'ai répondu à une question en fin de semaine dernière ; hier, à ma grande stupéfaction, j'ai constaté que non seulement ma réponse avait disparu, mais également que d'autres réponses en lien avec la mienne avaient disparu ; la question est passée au vote et lje considère que lerésultat ne sera pas le reflet de l'expression commune.

Evidemment, je 'ai reçu aucune information expliquant les raisons de cette disparition.

Est-ce cela la démocratie chez Q/R ?

Ma petite fille est victime, comme ses soeurs, du divorce conflictuel de ses parents. Sa mère est partie, en mai 2005, avec les enfants, dans un foyer pour femmes battues. Elle avait accusé mon mari, son mari et son beau-frère de violences. Après enquêtes policières, il s'est avéré qu'elle avait menti. N'empêche que la garde des enfants est laissée à la mère, d'origine éthiopienne, mais naturalisée française (il n'y a pas de double nationalité). Donc, l'aînée n'accepte plus de contraintes, se fait remarquer au collège. Les parents ont été convoqués, séparément ; il leur a été demandé d'accepter un suivi par un éducateur spécialisé judiciaire. La mère s'y est opposée. Le père a accepté et il semble que le collège ait décidé d'aider le père dans l'exercice de son autorité parentale. D'autre part, mon mari, qui s'est beaucoup occupé de sa petite-fille pendant 13 ans, alors que je travaillais encore, se laisse aller. Il me faut garder courage, malgré mon chagrin. J'ai besoin de soutien.

Mon fils est en procédure de divorce ; pour obtenir tous les droits sur les enfants et le patrimoine du couple, mon ex-belle fille a accusé tous les hommes de la famille de violences et de tentative de meurtre contre elle. J'ai reçu une convocation et je j'ai su qu'au commissariat de police (soit 6 jours plus tard) que l'on voulait m'auditionner parce que l'on venait de s'apercevoir que j'avais été oubliée pour les auditions. Je suis arrivée KO parce que je n'ai pas dormi entre la réception de la convocation et le moment de l'audition !